Saturday, November 4, 2017

Une carte interactive répertorie les fosses communes des victimes du massacre de 1988 en Iran



Pendant l’été 1988, en réponse à la fatwa lancée par Khomeiny, le fondateur du régime théocratique en Iran, le régime iranien a massacré environ 30 000 prisonniers politiques. Ce massacre a eu lieu, juste après l’annonce du cessez-le-feu pendant la guerre dévastatrice Iran-Irak.

Les commissions composées de trois hommes ont été créées partout dans le pays pour déterminer qui devrait être exécuté parmi les prisonniers politiques. Ces commissions, connues comme « commission de la mort », interrogeaient les prisonniers concernant leurs croyances religieuse et politique et en fonction de leurs réponses, déterminaient s’ils devaient être exécutés. Les questions étaient courtes, à huis clos, sans appel et les prisonniers étaient exécutés le jour même ou peu de temps après.

Les victimes ont été enterrées dans des tombes collectives tenues secrètes.

Une enquête de l’organisation de la justice pour les victimes du massacre de 1988 en Iran (JVMI) qui a débuté en 2016-2017 a traqué l’existence de 59 fosses communes en Iran. Leurs découvertes sont basées sur des rapports de témoins, les informations fournies par les membres des familles des victimes et les preuves documentaires et photographiques des différents sites.

La JVMI a publié une carte interactive qui répertorie les tombes collectives.

Utilisez la carte interactive de la JVMI pour voire d’autres détails et photographies des tombes collectives découvertes à ce jour.

Certaines se situent près de Téhéran, comme dans le cimetière de Behesht-e Zahra (bloc 93 / 103), et dans le cimetière Khavaran. Il en existe de nombreuses dans la province de Mazandaran, comme sous Abbas Abad – sur la route de Kelardasht, près de la forêt, et au sanctuaire de Seyed Nizamuddin, dans la rue Taleb Amoli, près du stade de sport de la ville d’Amol, ainsi qu’à Shahrak Shahab Nia, Darzikola Akhondi, à la ville de Babol, près des zones vertes.

D’autres se trouvent dans la province de Hormozgan, près du détroit d’Hormuz, où au moins 30 corps ont été découverts dans une tombe collective par des ouvriers qui construisaient une salle de sport Minab. Il en existe sept à la frontière irakienne, à Saleh-Abad, dans la province d’Ilam, près de l’autoroute Susangerd-Ahwaz, après le village d’Afagh, près du cimetière djihad ; à Dezful, également dans la province du Khouzistan, près du parc Roudband, dans la rue Komeil.

Ils se situent aussi dans de grandes villes. Ispahan, dans la province d’Ispahan, par exemple, dans le cimetière Bagh-e Rezvan (bloc 41), ainsi qu’à Chiraz, dans la province de Fars, dans le cimetière Dar-al-Rahma (bloc 38).

En juin, Amnesty International a publié un nouveau document sur son site web pour mettre en garde les autorités iraniennes qui allaient profaner les lieux des tombes collectives à Ahvaz, dans le sud de l’Iran, ce qui détruirait des preuves vitales et ruinerait les chances d’obtenir justice pour les tueries de masse.

En décembre 2016, des rapports et vidéos ont dévoilé une tombe collective découverte par des ouvriers de l’évacuation des eaux usées qui creusaient dans la zone de Tabriz dans la province iranienne de l’Azerbaïdjan de l’Est. Apparemment il s’agirait des corps de nombreux prisonniers politiques qui auraient péri pendant le massacre de 1988.

Désormais, les Nations Unies doivent répondre à la commission d’enquête à la suite de cette découverte.

Ce ne sont que quelques-uns des sites secrets qui ont été découverts par la JVMI. Elle appelle donc les organes des droits de l’Homme des Nations Unies à établir une commission d’enquête pour enquêter sur le massacre de 1988 comme crime contre l’humanité et pour faire traduire en justice les responsables de celui-ci.

#Khomeiny #Iran #Fatwa

Monday, October 30, 2017

Les #enfants de #Syrie
https://www.youtube.com/watch?v=n-pPSoAVs9c&feature=youtu.be



En Syrie, un enfant sur trois n’a connu que la guerre. Comité des #Musulmans de #France contre l'Extrémisme et pour les Droits Humains

Thursday, March 30, 2017

Genève: Le massacre de 1988 des prisonniers politiques en Iran condamné par l'ONU


Coïncidant avec la session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève, une conférence intitulée « Impunité et justice internationale – massacre de 1988 des prisonniers politiques – de 1988 à 2017 » a été organisée à l'invitation de cinq organisations non gouvernementales classées comme conseillers des Nations Unies. Des dignitaires politiques, des juristes et des personnalités des droits de l'homme ont également pris part à cette réunion.
Les orateurs ont condamné la vague d'exécutions et de crimes cruels commis par le régime des mollahs contre le peuple iranien. Ils ont également appelé à une enquête internationale sur le massacre de plus de 30000 prisonniers politiques en 1988, et la persécution par les responsables du régime sur les crimes contre l'humanité.
Le Dr Taher Boumedra, ancien chef du Bureau de l'ONU pour les droits de l'homme en Irak, a souligné que l'ONU avait suivi le massacre en 1988. Le professeur Reynaldo Galindo Pohl a reçu des informations quotidiennes des familles des victimes lors du déroulement des événements. Il y a également une liste des fosses communes et des emplacements qui ont été identifiés, ce qui a été décrit comme une grande avancée.
Actuellement, l'ONU ainsi que tous ses appareils et mécanismes ont placé le massacre de 1988 à leur ordre du jour. Les résultats des six derniers mois de leur travail seront présentés au Rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des droits de l'homme en Iran dans le but d'établir une commission d'enquête sur cette question.
Dr. Alejo Vidal-Quadras, ancien vice-président du Parlement Européen, a loué le rapport sur les victimes. Il a ajouté que le massacre de prisonniers politiques en 1988 est considéré comme le plus grand massacre de prisonniers politiques depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Ce massacre a été perpétré sur les ordres du fondateur du régime des mollahs, Ruhollah Khomeiny, mais toutes les factions du régime étaient impliquées, a ajouté M. Quadras. La modération en Iran n'est rien d'autre qu'un mirage, et apaiser ce régime est une perte de temps et ne rendra aucun bénéfice, a-t-il souligné.
Considérant la possibilité que les pasdaran soient désignés comme une organisation terroriste par les États-Unis, l'Occident devrait s'abstenir de s'impliquer dans des accords avec le régime des mollahs, a déclaré le Dr Quadras.
« Il nous faut maintenant une condamnation ferme et des résolutions fermes, parallèlement au suivi continu de l'ONU, des organisations de défense des droits de l'homme et des ONG sur la situation des droits de l'homme en Iran. Par exemple, ils doivent forcer l'Iran à permettre l'inspection inconditionnelle des prisonniers politiques, l'élargissement des relations avec l'Iran doit être conditionné à l'amélioration des droits de l'homme et à l'arrêt des exécutions. Ceux qui ont participé au massacre de 1988 doivent rendre compte à la justice, a-t-il ajouté.
Le Professeur Alfred-Maurice de Zayas, expert indépendant des Nations Unies pour la promotion d'un ordre international démocratique et équitable, a salué le nouveau rapport du Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l'homme en Iran, en particulier pour son accent mis sur le massacre des milliers de prisonniers politiques.
Le professeur Zayas a appelé à la pression et à l'augmentation des sanctions imposées à l'Iran pour qu'il réponde au massacre de 1988.
La publication d'un fichier audio de l'Ayatollah Montazeri concernant le massacre de 1988 a choqué la société iranienne, a déclaré Mme Azadeh Zabeti, vice-présidente du Comité des avocats iraniens au Royaume-Uni. Bien que ce massacre ait eu lieu il y a 28 ans, les familles des victimes méritent justice pour leurs proches, a-t-elle ajouté.
Mme Zohre Bizhan Yar, membre de la famille d'une victime de massacre de 1988, a prononcé un discours décrivant comment sa sœur, Zahra, a été arrêtée et exécutée pendant le carnage. Elle a également souligné les souffrances subies par sa famille en raison de leur perte et des pressions cruelles imposées par les mollahs. Le monde doit savoir ce qui s'est passé en Iran en 1988, étant donné que ces crimes continuent aujourd'hui.
#Genève #massacre #Iran

Wednesday, March 15, 2017

Plus de 10.000 combattants envoyés par l'Iran tués en Irak et en Syrie


8 mars 2017

ATTA KENARE / AFP Des soldats iraniens portent les corps de volontaires morts en Syrie, le 6 février 2016 à Téhéran. Alors que le régime des Téhéran a tenté de minimiser ses pertes dans les aventures guerrières en Irak et en Syrie, l’opposition iranienne a rappelé que « les troupes du régime iranien en Syrie ont subi plus de 10000 pertes dans les conflits depuis la crise syrienne. »

Afchine Alavi, membre de la commission des affaires étrangère du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) qui a souligné mardi cette information a précisé que « rien qu’en Syrie, le nombre de tués dans les rangs des gardiens de la révolution et de leurs mercenaires libanais, afghans, pakistanais irakiens et autres, est supérieur à 10.000. Les miliciens de nationalités étrangères (afghane, irakienne, pakistanaise ou le Hezbollah libanais) agissent sous les ordres des Pasdaran. Parmi ces morts on dénombre de dizaines de généraux et colonels des Gardiens de la révolution.

Friday, February 3, 2017

Les experts des droits de l'homme exhortent l'Iran à suspendre l'exécution imminente du délinquant juvénile Hamid Ahmadi

GENÈVE - Un groupe d'experts des droits de l'homme des Nations Unies a exhorté la République islamique d'Iran à immédiatement suspendre l'exécution du délinquant juvénile Hamid Ahmadi, qui est programmé pour être exécuté par pendaison le samedi 4 février. C'est la troisième fois que l'exécution de M. Ahmadi est prévue. Les deux précédentes fois, elles ont été arrêtées à la dernière minute.
http://www.unog.ch/unog/website/news_media.nsf/(httpNewsByYear_en)/A83B385B5FBD9712C12580BB003EE988?OpenDocument

M. Ahmadi avait 17 ans lorsqu'il a été condamné à mort en 2009 pour une attaque fatale au couteau d'un jeune homme en 2008 lors d'un combat entre cinq garçons. Le tribunal s'est fondé sur des aveux qui auraient été obtenus sous la torture et les mauvais traitements dans un poste de police où M. Ahmadi s'est vu refuser l'accès à un avocat et à sa famille.
« À notre connaissance, dans le cas de Hamid Ahmadi, les garanties les plus strictes de procès équitable et de procédure régulière contenues dans les instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme ont été ignorées et les allégations de torture et d'aveux extraits sous la contrainte n'ont ni été pris en considération ni conduit à aucune enquête », ont déclaré les experts des droits de l’homme.
« Toute condamnation à mort prononcée en violation des obligations internationales d'un gouvernement, en particulier lorsqu'une condamnation est fondée sur des aveux obtenus sous la torture, est illégale et équivaut à une exécution arbitraire », ont-ils souligné.
Malgré cela, la Cour suprême iranienne, qui avait annulé, en novembre 2009, la peine de mort en raison de certains doutes sur le témoignage de plusieurs témoins clés, a finalement confirmé le verdict un an plus tard. Suite à l'adoption en 2013 des nouvelles dispositions du Code pénal islamique relatives à la détermination de la peine pour mineurs, M. Ahmadi a eu droit à la tenue d’un nouveau procès, mais a finalement été une nouvelle fois condamné à mort par un tribunal pénal provincial en décembre 2015.
« Nous déplorons vivement le fait que les exécutions de mineurs continuent d'être programmées et même menées à un rythme sans précédent en Iran depuis le début de l'année », ont déclaré les experts.
« Le 17 janvier, nous sommes déjà intervenus pour arrêter l'exécution d'un autre mineur », ont-ils souligné. « Depuis lors, nous avons appris que deux autres mineurs avaient été pendus les 15 et 18 janvier. Arman Bahr Asemani et Hassan Hassanzadeh étaient tous deux mineurs au moment où ils auraient commis l'infraction pour laquelle ils avaient été condamnés à mort. »
Les experts des droits de l'homme ont souligné que les normes internationales interdisent sans équivoque l'imposition et l'exécution de la peine de mort pour les personnes de moins de 18 ans. « L'Iran doit respecter ses obligations internationales en mettant fin à l'exécution des délinquants juvéniles une fois pour toutes », ont-ils déclaré.
« L'exécution prévue de Hamid Ahmadi doit être immédiatement arrêtée et sa condamnation à mort annulée. En outre, un moratoire sur les exécutions juvéniles doit être adopté sans plus tarder », ont déclaré les experts des droits de l'homme de l'ONU.
(*) Les experts: Mme Asma Jahangir, Rapporteuse spéciale sur la situation des droits de l'homme en République islamique d'Iran, Mme Agnès Callamard, Rapporteuse spéciale sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires ; M. Nils Melzer, Rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ; et M. Benyam Dawit Mezmur, actuel Président du Comité des droits de l'enfant.
#Geneve #Iran #UN

Saturday, January 14, 2017

Message d’un groupe de prisonniers politiques dans la prison de Karaj Gohardasht en soutien au téléthon sur IranNTV




Chers compatriotes, défenseurs de la liberté des Iraniens, soutiens de la Résistance iranienne : Nous avons été informés qu’un autre téléthon est prévu pour promouvoir et poursuivre Simay-e Azadi (IranNTV), la seule voix des opprimés et des pauvres Iraniens.

Nous ne pensons pas qu’à un moment de la vie de ce média national, quelqu’un dans la société iranienne a eu un doute concernant son rôle important et essentiel pour faire passer la voix des défenseurs de la liberté.

Ce média, avec un minimum d’installations, a donné avec ténacité et sans interruption les vraies informations et la voix de ceux qui cherchent la justice de différentes couches de la société iranienne, dont des travailleurs, des enseignants, des étudiants, des sans domiciles, des vendeurs d’organes afin de rencontrer les minorités religieuses et ethniques qui ont été réprimées, tout comme notre voix, les prisonniers politiques dans les donjons du régime, aux Iraniens et au monde.
Nous, prisonniers politiques, sommes privés de regarder cette chaîne et notre seule source d’information est les médias de l’État. Mais nous avons remarqué un point important du programme du régime et qui est la réaction enragée des différents appareils de propagande du régime envers les programmes de Sima qui soulignent l’importance et l’efficacité de Simay-e Azadi.
Pour des raisons évidentes, nous demandons à notre noble peuple de soutenir Simay-e Azadi comme ils le peuvent. Ainsi, nous, prisonniers politiques, selon nos ressources limitées, nous offrons humblement 500 000 tomans (150 dollars) de notre ration mensuelle pour cette cause importante, pour partager à petite échelle à cette levée de fonds.
Merci à ceux impliqués dans Simay-e Azadi

Vive l’Iran
À bas le régime inhumain
Un groupe de prisonniers politiques de Gohardasht, Karaj – vendredi 13 janvier 2017

Monday, January 9, 2017

Une année pleine de surprises,espérons de bonnes surprises pour les Iraniens et les peuples de la région

Le 8 janvier s’est tenu à Auvers-sur-Oise la cérémonie des vœux de la résistance iranienne en présence de personnalités personnalité politiques, d’élus, de soutiens et d’amis de la Résistance du Val d’Oise et d’autres départements de France.





De nombreuses personnalité ont pris la parole parmi lesquelles : Dominique Lefebvre député du Val d’Oise et président du Comité parlementaire pour un Iran démocratique, Jean-Pierre Muller maire de Magny-en-Vexin, François Colcombet co-fondateur du Comité français pour un Iran démocratique, Jena Pierre Bequet ancien maire d’Auvers-sur-Oise, Sylvie Fassier maire du Pin, Bruno Macé, maire de Villiers-Adam, Claude Krieger maire d’Asnières sur Oise, Mme Anissa Boumedienne ancienne première dame d’Algérie, Mgr. Jacques Gaillot, Jean-Pierre Brard ancien député-maire de Montreuil…

Friday, January 6, 2017

Un membre de la Coalition nationale syrienne : le régime iranien est le seul à souffrir du cessez-le-feu en Syrie

Orient TV : quel regard porte la Coalition nationale syrienne sur la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU ?
Yasser Farhan, membre de la Coalition nationale syrienne :
Naturellement, le cessez-le-feu est une nécessité absolue pour le peuple syrien. Cela constitue un intérêt effectif et la principale demande des forces révolutionnaires et de l'opposition syrienne. C’est le régime d’Assad et le régime des mollahs, les seuls qui ouvrent le feu sur les citoyens et utilisent divers types d'armes interdites. L'Armée syrienne libre est la plus engagée dans le cessez-le-feu. L'armée syrienne libre a fait du cessez-le-feu une réalité. L'autre partie a reconnu les forces révolutionnaires et le groupe d’opposition armé comme principal négociateur.
En fait, l'armée syrienne libre a réussi à obliger l'autre partie à accorder ce droit. L'armée syrienne libre est honnêtement engagée envers cet accord. Le problème, ce sont les pratiques trompeuses et hypocrites auxquelles Assad et le régime des mollahs continuent de recourir. L'une de ces mesures hypocrites consiste à modifier l'accord de cessez-le-feu que l'Armée syrienne libre a signé et à conclure un accord avec la Russie selon ses conditions.
La résolution adoptée au Conseil de sécurité de l'ONU est convenable, le problème réside dans ses mécanismes d'application. Nous comptons sur le rôle de la Turquie, qui essaye honnêtement d’appliquer l'accord. Nous devons cependant nous assurer que les Russes sont neutres. Le problème, ce sont les violations intempestives du cessez-le-feu par le régime d’Assad et le régime des mollahs, qui se sont poursuivies jusqu'à présent. Les deux régimes sont bien conscients qu'une fois qu'ils ont abandonné la solution militaire et qu'un cessez-le-feu est instauré, ils n'auront certainement pas la possibilité de poursuivre leur règne ou leur occupation en Syrie. Il est impossible que les intérêts du peuple syrien coïncident avec ceux du régime des mollahs.

#YasserFarhan #syrienne #Orient #Iran

Thursday, January 5, 2017

Sept exécutions pour débuter 2017 en Iran


Empêtré dans ses crises politiques et économiques, et hanté par d'éventuels soulèvements à l'échelle nationale, le régime cruel des mollahs en Iran a eu recours à l’exécution de sept prisonniers dans les premiers jours de 2017. Ces exécutions ont eu lieu dans les prisons de Karaj (à l'ouest de Téhéran) et Ghazvin (dans le nord-ouest de l'Iran).

La prison centrale de Karaj a été le théâtre de la pendaison de quatre détenus le mardi 3 janvier.
Trois prisonniers de 30, 34 et 36 ans ont également été pendus à la prison de Ghazvin les 2 et 3 janvier.
Un autre détenu âgé de 33 ans a été transféré à la prison de Sepidar, dans la ville d'Ahvaz, en attente de son exécution.
Mohammad Javad Larijani, secrétaire du soi-disant « Département des droits de l'homme » du régime iranien, est connu pour justifier la torture et les exécutions en Iran à travers des programmes tels que « la réduction et le remplacement des peines de mort », qui sont destinés à tromper les pays Occidentaux.