Thursday, March 31, 2016

Attaques de Bruxelles: une prise de conscience pour l'Occident


Le président du Comité des Affaires étrangères du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) a averti dans une tribune dans le Washington Times mercredi dernier, que les récents attentats terroristes à Bruxelles devaient servir de prise de conscience pour l'Occident et les pousser à adopter une stratégie efficace dans la lutte contre l'extrémisme islamique.
Ci-dessous le texte intégral de la tribune de Mohammad Mohadessine dans le Washington Times :












Le président du Comité des Affaires étrangères du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) a averti dans une tribune dans le Washington Times mercredi dernier, que les récents attentats terroristes à Bruxelles devaient servir de prise de conscience pour l'Occident et les pousser à adopter une stratégie efficace dans la lutte contre l'extrémisme islamique.
Ci-dessous le texte intégral de la tribune de Mohammad Mohadessine dans le Washington Times :

Les attaques de Bruxelles exigent une nouvelle stratégie
Les attaques impitoyables contre l'aéroport et la station de métro à Bruxelles, qui ont tué au moins 31 personnes et en ont blessé des centaines, constituent des crimes contre l'humanité à tous égards. Encore une fois, ils posent la question à laquelle la communauté internationale a déjà été confrontée après le 11 septembre 2001 : Comment répondre au terrorisme mené au nom de l'Islam ?
La bonne réponse serait effectivement mettre fin à la croissance de l'extrémisme islamique violent. La mauvaise réponse conduirait à toujours plus de menaces.
Dans mon livre de 1993, "Fondamentalisme islamique : la nouvelle menace mondiale", j'affirme que, bien que les racines théoriques de ce phénomène diabolique remontent aux premières décennies de l'Islam, ce n'est qu'après l'instauration de la théocratie en Iran que le fondamentalisme islamique est devenu le menace mondiale qu'il est aujourd'hui. Alors que les différences entre les fondamentalistes chiites et sunnites sont minimes, ils ont un objectif majeur commun : la création d'un "gouvernement islamique" appliquant la "loi de la charia".
J'ai également soutenu dans ce livre que seul l'islam démocratique posait un ultime défi aux interprétations fondamentalistes.
À l'époque, mon livre a été considéré comme une exagération rédigée par un adversaire du régime iranien. Après les attaques terroristes du 11 septembre, le monde a été directement témoin de la brutalité du fondamentalisme, mais les Etats-Unis ont néanmoins gaffé avant, ils ont fait une erreur stratégique majeure en envahissant l'Irak.
Comme de telles erreurs ont été commises, l'Iran a réussi à dominer l'Irak. Cette circonstance a été exploitée par Téhéran pour se projeter comme puissance croissante au Moyen-Orient. Parce que Téhéran est le cœur de l'intégrisme. Téhéran a jeté les bases de l'émergence et de la propagation de Daech en tant que contrepartie sunnite au fondamentalisme chiite de l'Iran.
Quinze ans après, l'Europe fait face à ce qui pourrait être son propre 11 septembre. Et Téhéran est une fois de plus prêt à saisir l'occasion, sans le poids de ses sanctions, avec les coffres déjà pleins de dizaines de milliards de dollars d'argent neuf.
La solution à l'intégrisme islamique n'est pas l'engagement avec son mécène en Iran ; c'est exactement le contraire. Et cela doit inclure un soutien sans faille à l'éviction du président syrien Bachar al-Assad en Syrie. Après tout, la brutalité de M. Assad et le sectarisme iranien sont les principaux contributeurs au paysage social qui a permis à Daech d'attirer plus de sunnites à son idéologie extrémiste. Retirez ces conditions, et l'idéologie et les tactiques de Daech s'effondreront rapidement.
L'année dernière, le président français François Hollande a déclaré que si les Etats-Unis n'avait pas fait marche arrière le 11 août 2013 dans la punition de M. Assad pour ses attaques chimiques, l'attaque terroriste Charlie Hebdo n'aurait probablement jamais eu lieu. Peut-être que les attaques du 13 novembre dernier à Paris ne seraient pas arrivé non plus. Et maintenant le sang d'innocents a coulé à Bruxelles.
M. Hollande était sur place. L'Occident (et notamment les Etats-Unis) devrait concentrer ses efforts sur l'éviction de M. Assad au lieu de regarder au mauvais endroit pour trouver de l'aide contre des menaces, comme celle de Daech. Les efforts de lutte contre Daech seront vains sans le renversement de M. Assad.
Le chef suprême du régime iranien Ali Khamenei, ses marionnettes irakiennes et Bachar al-Assad, ont créé un terrain fertile pour la propagation de Daech, en tuant selon certains rapports 470 000 personnes en Syrie et en marginalisant et en aliénant les sunnites en Irak.
Sous la surveillance de Washington, Bagdad et Damas sont devenus des champs de la mort pour la Force Qods iranien et ses milices criminelles. Sans une alternative viable, les sunnites ont été contraints de choisir entre ces criminels et Daech. Le remplacement Assad et de ses partisans iraniens par un gouvernement modéré et inclusif donnerait à la population sunnite une véritable alternative.
Il ne faut pas oublier que comme outil clef de M. Assad, les mollahs iraniens, affaiblis et plus vulnérables après les fausses élections législatives, ont dû concéder le cessez-le-feu en Syrie. Une approche ferme des Etats-Unis et de ses alliés européens peut renforcer le cessez-le-feu fragile en Syrie, en ouvrant ainsi la voie à suivre pour les négociations de Genève. Dans le cas contraire, le cessez-le-feu sera l'occasion pour Téhéran de provoquer un autre massacre d'innocents en Syrie.
Il n'y a pas de doute que le renvoi de M. Assad puisse marquer le début d'une stratégie qui pourrait finalement conduire à la paix pour tous les peuples de Syrie, d'Irak et d'Iran. Cela éliminerait également une menace sérieuse pour l'Europe.
Les Etats-Unis et l'Europe sont confrontés à une décision historique. Les victimes des attentats horribles de Bruxelles ne seront pas morts en vain si ces gouvernements choisissent de poursuivre une véritable solution aux crises syrienne et irakienne. Toute autre voie d'action sera jugé sévèrement par l'histoire.

• Mohammad Mohadessine est président du comité des Affaires étrangères du Conseil national de la Résistance iranienne.



Wednesday, March 23, 2016

Maryam Radjavi a qualifié les attaques terroristes à Bruxelles de crime contre l'humanité, et les a vivement condamnées

CNRI - Mme Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne, a fermement condamné les attentats terroristes à l'aéroport et à la station de métro de Bruxelles et les a qualifié de crimes contre l'humanité. Tout en offrant ses condoléances au peuple belge et au gouvernement de la Belgique, elle a exprimé ses sincères condoléances aux familles des victimes de ces crimes terroristes et a exprimé ses vœux de rétablissement pour les blessés.

Le peuple iranien qui est, depuis 37 ans, sous la domination sinistre du fascisme religieux et du terrorisme des mollahs, ce parrain de Daesh, a connu de près ce genre d’atrocités et comprend le sentiment des citoyens belges et européens dans ces moments difficiles.
L'intégrisme et le terrorisme sous la bannière de l'islam sont devenus une menace mondiale et régionale depuis l'avènement de la dictature religieuse en Iran et la formation de groupes terroristes sous bannière chiites comme sunnites directement ou indirectement liée à ce régime.
Comme la Résistance iranienne a mis en garde de nombreuses fois ces trois dernières décennies, le déracinement de ce phénomène sinistre ne sera possible que par le renversement de ce régime et l'instauration d’une démocratie en Iran.
Le Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 22 mars 2016
#terroristes #intégrisme #Iran #MaryamRadjavi #Bruxelles

Monday, March 21, 2016

الرئيسة رجوي لقناة أورينت: نحن شركاء مع الشعب السوري في الاحزان والآلام كما في آماله نحو المستقبل.

حوار أجرته قناة أورينت نيوز حصريا مع السيدة مريم رجوي رئيسة المجلس الوطني للمقاومة الإيرانية في باريس – 14 آذار 2016
وناقشت فيه المفاوضات الايرانية النووية هل هي لصالح نظام الملالي وضد مصلحة ايران وهل هو مقبول دوليا، وعن التدخل الإيراني في سوريا ، والثورة السورية في عامها الخامس وقصة صمود الشعب السوري وامكانية التوافق مع المعارضة السورية لخدمة اهدافهم.

الرئيسة رجوي لقناة أورينت: نحن شركاء مع الشعب السوري في الاحزان والآلام كما في آماله نحو المستقبل.


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حوار أجرته قناة أورينت نيوز حصريا مع السيدة مريم رجوي رئيسة المجلس الوطني للمقاومة الإيرانية في باريس – 14 آذار 2016
وناقشت فيه المفاوضات الايرانية النووية هل هي لصالح نظام الملالي وضد مصلحة ايران وهل هو مقبول دوليا، وعن التدخل الإيراني في سوريا ، والثورة السورية في عامها الخامس وقصة صمود الشعب السوري وامكانية التوافق مع المعارضة السورية لخدمة اهدافهم

Sunday, March 20, 2016

Maryam Radjavi: Norouz annonce la certitude de la venue du printemps, de la liberté et de la joie

Message de Norouz, Nouvel An iranien
Chers compatriotes, 
Honorables mères et pères,
Chers sœurs et frères,
Jeunesse passionnée débordante d’énergie en Iran qui aspire au renouveau,
Femmes et hommes courageux dans les prisons politiques qui célèbrent Norouz même en captivité,
Champions de la liberté au camp Liberty en Irak messagers du printemps et de Norouz pour l'Iran,
Compatriotes iraniens exilés à travers le monde qui faites entrer votre belle patrie, l'Iran, dans vos maisons et vos familles avec Norouz en dressant la table des « Sept S », 

Bonne année !
Je vous souhaite mes meilleurs vœux en cette arrivée du printemps et de la grande fête de Norouz. Que la joie et la prospérité de Norouz s’étendent à l’ensemble des villes et villages de notre pays et à tous les moments de vos jours et de vos vies ! Que Norouz renverse les monstres en turban au pouvoir !
Et comme l'a dit Zoroastre :
Que le mal échoue et que le bien réussisse,
Que le mensonge échoue et soit conquis par la vérité.
Mes chers compatriotes,
Bien que notre Nouvel An et notre bonheur aient été volés, ils restent cependant vos droits.
La liberté, le bien-être et la sécurité sont vos droits. Les droits humains, les élections libres, la séparation de la religion et de l'État sont vos droits. Rechercher une vie juste, un pays sans exécutions ni torture et se dresser pour faire tomber la tyrannie religieuse sont vos droits. Il faut restituer ces droits et renverser les usurpateurs et les oppresseurs.
Dans cette voie, nous partageons tous le même esprit et faisons partie du même corps. Comme l’a dit le dirigeant de la Résistance iranienne Massoud Radjavi : « Quiconque souhaite voir la tyrannie religieuse renversée et quiconque désire la liberté et la souveraineté populaire dans une république et le vote du peuple, est avec nous et nous sommes avec lui. »
Je salue votre fermeté et votre courage qui ont ruiné et fait fermer les sites de projet d'armes nucléaires des mollahs l'an dernier. A présent, c’est au tour des bases du Corps de gardiens de la révolution, de leurs tribunaux injustes et de leurs salles de torture d’être détruites.
Khamenei voulait tirer son régime hors de la fosse de son recul dans l’accord nucléaire, mais il a fini par pousser l'ensemble du régime dans le puits de sa farce électorale. Il voulait trouver une fenêtre d’oxygène pour le régime au Yémen et en Syrie, mais il a été battu au Yémen et a perdu ses commandants les plus importants en Syrie. Le régime est devenu si faible que les mollahs ont appelé à l’ingérence de la Russie. Mais l'intervention de la Russie n'a pas duré longtemps, malgré les bombardements massifs et les massacres, et le régime iranien a perdu son soutien.
Et enfin, les mollahs ont cherché à anéantir les pionniers du mouvement de résistance de la nation iranienne en lançant des attaques à la roquette sur le camp Liberty et en massacrant les membres de l'OMPI. Cependant, le peuple d'Iran soutient plus que jamais l’OMPI de tout son amour. Rappelons-nous Nayereh Rabi’i, Hossein Abrichamtchi et les 22 autres héros qui ont sacrifié leur vie pour le printemps de la liberté de l'Iran.
Pour le peuple iranien, Norouz annonce la certitude de la venue du printemps, de la liberté et de la joie. Chaque Norouz, les Iraniens appellent de leurs vœux une destinée favorable qu’ils sont sûrs de voir venir. Pour l’avènement de ce jour, nous devons nous y préparer dès aujourd'hui.
La mission des mollahs est de tuer l'espoir. Aussi nous devons faire renaître l'espoir par le sacrifice désintéressé, l'amour et la confiance dans nos compatriotes. Les mollahs cherchent à éliminer la solidarité nationale. Aussi, tous les Iraniens doivent renforcer plus que jamais leurs liens d'amitié.
Notre Iran est un jardin d’une incroyable beauté où croissent la liberté et la souveraineté populaire. Les Baloutches et les Kurdes, les Arabes et les Lores, les Bakhtiaris et les Turkmènes, les Azéris et les adeptes des différentes ethnies et confessions sont les magnifiques fleurs multicolores du jardin de l'Iran. Et le jour approche où l'Iran deviendra à coup sûr le jardin de la liberté et de la justice.
Aux travailleurs, aux enseignants, aux infirmières et à vous, femmes éprises de liberté, mères et pères qui se sont levés pour protester devant la prison d'Evine, je dis que ce c’est vous qui apporterez Norouz à notre pays.
Vous qui résistez dans les prisons, vous qui avez célébré la fête du feu dans la prison de Gohardacht aux cris toujours plus forts de « brûlez le régime du guide suprême », vous qui aidez les pauvres et promouvez la paix, vous qui répandez la lumière, la confiance et l'amitié, oui, vous êtes ceux qui apporteront Norouz.
Votre détermination générera le printemps de la liberté.
Je vous souhaite une centaine d'années meilleures que ces années. Mes meilleurs vœux à tous, pour ce printemps de bon augure, un Norouz de victoire et une nouvelle année iranienne 1395 !
#Iran #Norouz #MaryamRajavi


Friday, March 18, 2016

A LA VEILLE DU NOUVEL AN, INQUIÉTUDE SUR LE SORT DE JOURNALISTES EMPRISONNÉS EN IRAN




Reporters sans frontières (RSF) exprime une nouvelle fois sa vive inquiétude quant aux conditions de détention des journalistes emprisonnés en Iran, notamment sur le cas d’Afarine Chitsaz, victimes de la vague d’arrestations du 2 novembre 2015, dont on est sans nouvelles depuis.
Aucune information officielle n’a encore été communiquée au sujet d’Afarin Chitsaz, journaliste du quotidien Iranarrêtée avec trois autres journalistes. Selon les nouvelles obtenues par RSF, la jeune femme, qui n’a pu passer qu’un court appel téléphonique, aurait déjà été transférée à l’isolement de la section 2A de la prison d’Evin contrôlée par les gardiens de la révolution. Les détenus de ce quartier pénitentiaire subissent de fortes pressions et formulent parfois sous la contrainte des aveux forcés, utilisés ensuite lors de leurs procès.
Outre d’Afarin Chitsaz, quatre autres femmes Rihaneh Tabatabai, Roya Saberi Negad Nobakht, Narges Mohammadi, Atena Ferghdani condamnées à des peines allant de un à douze ans de prison sont détenues en Iran, première prison du monde pour les femmes journalistes. L’état de santé de certaines d’entre elles est préoccupant, de même que celui d’Issa Saharkhiz, jugé avec Ehssan Mazndarani et Saman Safarzai par la 28e chambre du tribunal de la révolution de Téhéran pour “action contre le sécurité nationale” et “activités de propagande contre le régime”, et hospitalisée dans un hôpital de la capitale depuis le 10 mars 2016 après un infarctus et une grève de la faim.
À la veille du nouvel an iranien, le 20 mars, plusieurs journalistes et citoyens journalistes sont privés de leurs familles. Les autorités iraniennes et notamment Hassan Rohani dont le silence facilite cette répression, pourraient faire montre de clémence à l’encontre de ces détenues, déclare Reza Moini, responsable du bureau Iran/Afghanistan de Reporters sans frontières. Ils ont été arbitrairement arrêtés et injustement condamnés, nous demandons leur remise en liberté immédiate et sans condition.“
RSF a d’ailleurs appris la libération conditionnelle, le 13 mars 2016, de Saraj Mirdamadi, collaborateur de plusieurs médias, notamment du quotidien Hayat-é-No (suspendu en janvier 2003) et de radio Zamaneh (basée aux Pays-Bas). Il a été remis en liberté en vertu de l’article 58 du nouveau code pénal islamique (amendé en 2013) qui prévoit que les prisonniers condamné qui ont purgé un tiers de leur peine peuvent être libérés pour bon comportement. Arrêté le 10 mai 2014 , le journaliste avait été condamné le 21 juillet 2015 pour “réunion et complot contre la République islamique” et “publicité contre le régime”.
Avec 36 journalistes et citoyens-journalistes emprisonnés,l’Iran est toujours l’une des cinq plus grandes prisons du monde pour la profession. Le pays occupe la 173e place (sur 180) dans le Classement mondial de la liberté de la presse établi en 2015 par Reporters sans frontières.
http://fr.rsf.org/iran-a-la-veille-du-nouvel-an-16-03-2016,48911.html
#Iran #journalistes # Rsf

Friday, March 11, 2016

Les exécutions capitales au plus haut depuis 20 ans en Iran-Onu

GENEVE, 10 mars 2016 (Reuters) 
- L'Iran a procédé en 2015 à l'exécution d'un millier de prisonniers, soit un record depuis deux décennies, indique le rapporteur spécial de l'Onu sur les droits de l'homme dans la république islamique.
Ahmed Shaheed s'inquiète des exécutions d'adolescents criminels âgés de moins de 18 ans, ce qui est "strictement et sans équivoque interdit par le droit international". 
Il y a eu "un accroissement stupéfiant des exécutions qui ont concerné 996 prisonniers l'an passé, soit le plus haut niveau depuis deux décennies", a déclaré le rapporteur.
"Un grand nombre de ces exécutions sont liées au trafic de drogue. Dans le droit iranien, la possession de 30 grammes d'héroïne ou de cocaïne est passible de la peine capitale",a-t-il rappelé.
Ahmed Shaheed note qu'il demeure des problèmes de fond concernant la procédure judiciaire et l'équité des procès.
"Je continue à recevoir des témoignages fréquents et alarmants sur le recours à l'isolement prolongé ou le confinement au secret, à la torture et aux mauvais traitements, sur le manque d'accès à un avocat ou l'utilisation comme preuves de confessions obtenues sous la torture", note-t-il.
Des centaines de journalistes, de blogueurs, de militants et de membres de l'opposition "dépérissent actuellement dans des prisons ou des centres de détention en Iran", a-t-il rappelé.

 #AhmedShaheed #Iran #HumanRights #UN